Mai pluvieux mais mai heureux

Cela devient une habitude que j’aime dans ce blog : regarder dans le rétroviseur du mois.

Le premier mai, samedi férié, nous avons retrouvé au jardin des Tuileries la famille Morris, nos amis australo-anglais, les plus amoureux de Paris qu’on connaisse avec leurs trois filles formidables qui sont de supers copines de jeux pour notre petite biche.

On a fait du manège ensemble même si notre petite râleuse ne voulait pas lâcher « sa » moto.

J’ai redécouvert sous un autre jour le jardin des Tuileries tellement agréable sous ses marronniers et ses allées de sable. On reviendra pour la fête foraine cet été.

J’ai bien envie d’aller tester le salon de thé Angelina, situé rue de Rivoli. Un endroit bien touristique comme je les aime.

Début mai, j’ai lu le nouveau roman Haute saison d’Adèle Bréau, gentiment envoyé par JC Lattès. Un bon moment de lecture dans une ambiance Bienvenue à Galaswinda, darladidada, ya du soleil et des nanas… digne de nos chers Bronzés… J’étais un peu dubitative sur la manière de rendre romanesque un club de vacances que je fuirai plutôt à toutes jambes…

Je me suis régalée à chroniquer dans ce blog, le nouvel album d’Andrée Grise : Demain j’irai mieux, une chanteuse inspirée, dans la lignée d’une grande Aretha Franklin dont j’avais lu l’histoire le mois dernier : Sister soul de Jean-Luc Gadreau, éditions Ampelos.

J’ai eu quelques pépins de santé en mai, rien de bien méchant mais des migraines bien pénibles qui vous donnent des fourmillements dans les mains, des vertiges dans les rues et qui vous font lâcher le portefeuille sans crier gare.

Heureusement, deux bons Samaritains, Mathilde et Michael, fleuristes dans le 11eme, aidés par Sophie, esthéticienne de Body Minute à Saint-Germain des Près, ont retrouvé mes coordonnées pour me rendre mon porte feuille intact. Merci mon Dieu de prendre soin de moi dans mes petites et grandes étourderies.

Puis est arrivé le 19 mai, un jour très heureux pour tous malgré les averses. Je ne pensais pas à quel point les terrasses des cafés animaient les villes. C’était un vrai plaisir d’entendre à nouveau les conversations résonner dans les rues. Depuis janvier, Paris était vraiment sinistre et morose. Quel joie de revoir « Mon Louvre » rouvrir. J’en ai profité pour écrire un article sur les cinq grandes expositions qui m’ont marquée ces dernières années.

L’autocollant d’un scooter, rue de Lille, 7eme arrondissement

Le week-end de l’Ascension, nous avons eu la chance de recevoir mon frère et sa femme qui venaient de Suisse.

Au programme, pancakes pour le brunch et jeux de société… comme au bon vieux temps avec mon frère et mes cousins.

Cela m’a encouragée à écrire un article sur le fort potentiel de convivialité des jeux de société, décuplé pendant les confinements.

Ensuite, nous nous sommes préparés joyeusement pour notre périple familial attendu de très longue date à Deauville- Trouville.

On peut dire que notre expertise de cette station balnéaire a payé pour ce premier séjour à la mer de notre petite fille.

On a trouvé les bonnes planques pour éviter les averses, sortir aux bonnes heures pour pouvoir manger au restaurant et surtout venir en train pour éviter les embouteillages à rallonge de Pentecôte…

Cela m’a inspirée d’écrire un article pour donner des conseils afin de réaliser des carnets de voyages urbains pour fêter dignement ce déconfinement 2021 (on s’habitue à la longue…)

Voila, nous en avons fini avec les pluies du mois de mai. Place au mois de juin pour les retrouvailles avec nos familles, nos amis et aussi de beaux projets : je me lance dans un atelier créatif Dessiner la Bible au quotidien… le 5 juin prochain. Je suis retournée au cinéma voir Envole-moi

Bref, la vie reprend ses droits alors il faut la savourer. A l’image de ce jeune chat qui voulait venir lire avec les enfants à la médiathèque de Fontenay un samedi matin.

Retrouvez mes précédents instantanés de vie racontés dans ce blog !

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