Ma pile de livres et de films de cet automne

Cet été, j’avais pris un grand plaisir à écrire cet article. Lire des bons romans et visionner des films est une vraie détente pour moi pour m’évader l’esprit face à cette actualité plus que morose. Alors je continue sur ma lancée.

Je commence par les films car je me régale sur Netflix et grâce à la plateforme Eureka des bibliothèques du Val de Marne, j’ai même envie de retourner au cinéma même si c’est hors de prix.

Le tigre et le président avec Jacques Gamblin et André Dussolier.

Un film avec Jacques Gamblin, j’y vais les yeux fermés. C’est l’un de mes acteurs préférés. Tout son jeu d’acteur se lit sur son visage. D’ailleurs, dans ma dernière sélection de cet été, il y avait Holy Lola, un film dont il est l’acteur principal. Ce film, je suis allée le voir un dimanche matin pendant mon road trip au Touquet.

Il y avait des longueurs mais c’était une bonne réflexion sur le métier de président de la République. Pour une fois, un film porte un regard critique sur Georges Clémenceau. Il était un redoutable animal politique qui a humilié l’Allemagne avec un traité de Versailles drastique en 1920. Je connaissais l’anecdote du président de la République qui était tombé d’un train en pyjama. J’ai découvert le portrait d’un homme qui a sombré dans la folie à cause d’une fonction trop grande pour lui. Il décore à tour de bras des gueules cassées tandis que Suzanne Noël les réparait au lendemain de la première guerre mondiale.

BD A mains nues, tome 1 et 2, Leïla Slimani et Clément Oubrerie, Les arènes

Cette BD était très attendue car elle associait deux talents de BD et de littérature. J’aime vraiment les biographies historiques et cette BD a de nombreux traits communs avec Pablo, la BD dessinée par Oubrerie. J’ai découvert le style de Leïla Slimani qui apporte de la profondeur à cette femme qui a vraiment bousculé les codes.

BD L’adoption,cycle 2 : Wadji, Zidrou et Monin, 16.90€

C’est vraiment mon coup de coeur BD de cet automne. J’aime beaucoup Bambou pour ses BD de société très actuelles. D’abord, c’est un très grand format bien utile pour montrer en grand les émotions contradictoires que ressentent cette famille de bobos lillois qui adoptent un orphelin yéménite de neuf ans.

C’est un petit garçon mais il a vécu des situations extrêmes qui désarçonnent sa nouvelle famille par ses réactions. Il a perdu sa naïveté et son insouciance et on se demande qui arrivera à l’apprivoiser.

Une lecture de toute beauté qui montre les traumatismes psychologiques vécus par les migrants.

Simone, le voyage du siècle, un film d’Olivier Dahan avec Elsa Zylberstein et Rebecca Marder.

C’est le film que j’attendais le plus cette année. J’adore les biopics : Ray, Claude François, La dame de fer sur la vie de Margaret Thatcher. En France, il y a peu de films qui racontent la vie d’une femme politique… J’avais adoré La môme avec Marion Cotillard et j’ai lu plusieurs livres sur la vie exceptionnelle de Simone Veil. Quand elle défie les députés haineux qui essayent de l’intimider, je me dis que c’est un film très utile et familial pour résister contre la haine, le racisme et l’antisémitisme.

Un indien dans la ville de Hervé Palud avec Thierry Lhermitte, Patrick Timsit, Arielle Dombasle, Miou-Miou, 1994

Quel bon moment de comédie de revoir ce film ultra populaire. J’avais oublié à quel point les dialogues étaient comiques. Le thème de ce film c’est de rire des manières radicalement différentes d’élever un enfant. Pas d’adolescence dans la tribu de Mimi Sikku. Comment veux-tu faire obéir un gosse qui part trois jours chasser et manger du barracuda tout seul au coin du feu dans la jungle. Mention spéciale au duo d’acteurs Lhermitte/Timsit…

Série Detox sur Netflix avec Tiphaine Daviot et Manon Azem

J’ai découvert cette série grâce à un magazine féminin et mes deux collègues se sont bien marrées aussi. C’est l’histoire de deux cousines, des trentenaires parisiennes de mon âge qui se vautrent allégrement dans leur vie perso et pro car elles sont accros à leurs écrans.

Même leur cousin de treize ans les considère comme des ratées. J’ai beaucoup aimé le jeu de Tiphaine Daviot qui va loin dans l’excès et la caricature. Elle est ingérable, elle me rappelle Marion dans Scènes de ménages sur M6.

Oh happy day d’Anne-Laure Bondoux et Jean-Claude Mourlevat, éditions Fleuve

C’est la suite du roman épistolaire Et je danse aussi. On retrouve Pierre-Marie et Adeline qui correspondent entre sa campagne drômoise à lui et elle à Toronto. Elle s’est mariée à Ben, un affreux jojo bien flippant qui casse des bras à tour de bras; Haletant ! Une vraie claque littéraire pour moi.

Le charmant cottage d’Amélia, Abby Clements, Pocket

Cet été j’ai bien aimé lire Les divines glaces à l’italienne d’Anna. J’ai trouvé que cette auteure de feel good écrivait avec profondeur et introspection. Il ne faut pas se fier au titre un peu nunuche de ce livre, il raconte un couple qui se délite et se confrontent à ses aspirations différentes quand ils se lancent dans la poursuite de leur rêve : la rénovation d’un cottage loin de Londres qui s’avère être un vrai taudis !

Réveil catholique, emprunts évangéliques au sein du catholicisme, Valérie Aubourg, Labor et Fides

Cet essai de sociologie m’a bien plu car il parle de pas mal de communautés spirituelles en France que je connais et comment elles prouvent que croire en Jésus en 2022 est loin d’être ringard et désuet. Depuis, j’ai découvert le compte Instagram d’Albertine de Baecker et les chansons de Vinz le Mariachi, deux catholiques qui vivent leur foi avec intensité et authenticité.

Les livres pour enfants

Gâteaux kids écrit par Juliette Lalbaltry, éditions Larousse, 9.95€

Ce livre, je l’ai découvert dans Le blog de Néroli et dans le journal gratuit 20 minutes. Je n’ai pas plus que ça envie de réaliser les recettes car les bonbons chimiques m’écœurent vite mais j’aime beaucoup regarder ce livre pour son esthétique très Instragramable ! J’aime beaucoup leur mise en scène.

Petit robot vert, Miguel Lalor, éditions Scriptura, 15€

Cet album pour les enfants à partir de 5 ans nous questionne sur notre rapport à la performance pour évaluer notre valeur. J’ai ce défaut de vouloir produire pour me prouver ce que je vaux. Plus qu’un album pour enfants, il questionne les parents sur le sens que l’on donne à ce que l’on fait. Ce livre propose une vraie réflexion philosophique.

Les réels d’Alizon sur Instragram

Cette petite nana blonde de Bordeaux je l’ai découverte par hasard sur Instagram. Ses réels de Docteur Black out ou quand elle se prend pour un commissaire de la brigade féline pour auditionner son enfant, me font hurler de rire. Mieux, ils me donnent le sourire quand le temps est bien morose. Je suis assez atterrée par les messages de rageux haters qui s’en prennent à elle car ils sont envieux. Elle fait un sacré boulot de montage et de mise en scène pour ses vlogs de voyage et ses tranches de vie. Je pense qu’elle a un bel avenir dans le stand-up !

C’ à vous animé par Babeth Lemoine et son équipe sur France 5 : Pierre Lescure, Bertrand Chameroy, Emilie Tran Nguyen…

Cette émission quotidienne est devenue le rendez-vous incontournable des chanteurs, hommes politiques ou acteurs quand ils font de la promotion ou la une de l’actualité. Je trouve qu’il y a un bon esprit dans cette bande, c’est convivial de diner avec ces chroniqueurs qui sont authentiques. On se croirait vraiment dans un vrai diner entre amis avec ses blagues, les grands éclats de rire de Babeth qui mettent à l’aise. J’ai remarqué que le cameraman faisait souvent un plan sur les jambes de Babeth en micro short et escarpins. Pas de quoi crier au sexisme non plus !

Dans un autre genre, comme Stromae, j’aime regarder Ca commence aujourd’hui, l’émission de Faustine Bollaert. Une émission lui a inspiré une chanson Fils de joie.

Se détendre en Californie grâce aux séries Netflix…

Cet été, je me suis régalée avec deux séries Netflix dont j’attendais la suite avec impatience : Virgin river saison 4 et Never I ever saison 3. Malgré quelques longueurs, j’ai passé un bon moment de détente cet été, excellent échappatoire face à la canicule.

Regarder Virgin River sous un bon plaid avec un petit chocolat quand l’été finit…

La saison 3 m’avait moyennement emballée. Cette histoire d’embryons congelés, fruits du couple de Mel et de son mari décédé me paraissait totalement déjantée. Cela pose des questions déontologiques sur le plan éthique et dans le processus de deuil.

Copyright Netflix

Heureusement, tout rentre dans l’ordre au fil de la saison 4 et d’autres thématiques sont abordées : la rédemption dans le couple de Bree et Brady, la vulnérabilité de Hope après un accident de voiture, le stress post-traumatique des vétérans d’Afghanistan…

Tous les acteurs jouent bien même ceux qui m’énervent un peu avec leurs bons sentiments et leur patriotisme. Cette saison était passionnante à suivre avec de nombreux rebondissements et bien entendu deux bons vieux cliffhangers pour le prix d’un…

J’aime beaucoup cette série pour les beaux paysages naturels de cette série censée se dérouler dans la Californie montagneuse mais qui a été tournée au Canada… J’aime bien les terrasses de leurs petits chalets cocooning et particulièrement le personnage de Mel. Elle est attachante, authentique à mille lieux de l’héroïne inexpressive et un peu distante de la série Chesapeake shores.

Autre série contemporaine qui se déroule également en Californie, Never I ever. J’aime bien Mel mais encore Devi, la jeune lycéenne d’origine indienne, complètement barrée. Elle est drôle, d’un tempérament primesautier qui me parle beaucoup… Bon, elle fait un peu trop valser ses petits copains avec ses sautes d’humeur et ses doutes.

Se bidonner avec Trent, Eleanor, Ben, Paxton, Devi… dans Never I ever

J’aime beaucoup les scènes où on la voit en entretien thérapeutique avec sa thérapeute. Devi a seize ans, elle vient d’une famille indienne fidèle à ses traditions.

Son papa est mort brutalement alors qu’il était dans la fleur de l’âge, d’une crise cardiaque pendant un récital de musique à son lycée. C’est une série à la fois drôle et profonde qui parle du deuil, de l’engagement.

Copyright Netflix

La saison 3 parle beaucoup de leur orientation universitaire. Ils se mettent une sacrée pression pour la suite à l’image de Ben mais aussi de Paxton. C’est de loin mon personnage préféré. L’épisode où il présente des excuses à chacune de ses ex qu’il a ghosté est savoureux.

C’est lui qui évolue le plus vite alors que Devi dégringole et papillonne sur le plan sentimental. Ce sont ses doutes qui font le sel de cette série.

La relation avec sa maman évolue positivement. Sa mère était vraiment tyrannique avec elle dans la première saison. Sans vouloir spoiler la fin de la série, mère et fille vont faire preuve de solidarité quand une nouvelle amie qui n’avait pas de si bonnes intentions que ça, va cataloguer Devi dans la case « fille à problèmes ».

J’aime cette série pour ses démonstrations d’amitié, d’amour et de solidarité entre les personnages.

Dans les temps actuels, cela ne fait pas de mal…

Retrouvez-ici mes précédents articles sur mes séries Netflix préférées :

Un hymne à l’amitié envers et contre tout : Toujours là pour toi

-Grace et Frankie, les seniors crèvent l’écran

Charlie monte le son ! Un baby-sitter moderne pour recadrer une petite fille désœuvrée

Trois coups de cœur séries et romans qui m’aident à attendre le printemps en février

Cette année particulièrement, j’ai vraiment hâte que l’hiver se termine, qu’on jette aux oubliettes nos masques et que le printemps reprenne tous ses droits. L’an dernier, la météo nous a bien arnaqué avec un printemps lamentable et un été passé inaperçu.

D’ici là, j’hiberne comme une vieille ourse sous ma couette avec de bonnes séries et de bons livres en attendant que mon balcon soit prêt pour de longues soirées à siroter des citronnades en contemplant les couchers de soleil avec mon mari. Tout un programme à venir !

Je me rends compte que mes collègues de bureau ont regardé les mêmes séries Netflix que moi en février, signe que c’était des bons moments de détente à partager avec vous sur ce blog !

A l’ombre des magnolias, saison 2 sur Netflix.

J’ai un peu honte d’avouer que j’ai compté les jours jusqu’à la diffusion de la saison 2 le 4 février alors que je n’avais pas été tendre avec la saison 1 ici même ! Ah ces bons vieux cliffhangers, ils vous donnent envie de replonger la cuillère dans le pot de Nutella même quand vous êtes pas mal écœurée.

Alors je persiste, ce n’est pas à la hauteur de Call the midwife, The crown, Mes premières fois et Atypical. Mais c’est une petite série qui fait le job malgré ses longueurs dans les dialogues ou ces postures chrétiennes un peu trop identitaires.

J’aime suivre l’évolution de la vie de ces trois femmes, au fil de leurs soirées cocktails avec leurs tenues inspirantes pour Maddy et Helen, leurs intérieurs à la mode. C’est une vision un peu idéale de la petite ville du Sud des Etats-Unis, où racisme et délinquance semblent ne pas exister.

Comme dans la première saison, les adolescents de cette série ont l’air plus matures sentimentalement que leurs parents. Cette série montre des quadragénaires un peu blasées par leurs expériences conjugales bancales, elles rejettent les engagements sentimentaux au profit d’expériences ludiques et inédites tout en restant fleur bleue.

Mention spéciale au grand benêt qui sème des enfants partout dans la petite ville de Serenity. Cet épisode m’a vraiment sidéré, c’est l’un des grands points forts de cette saison. On aurait dit que la chanson Papaoutai de Stromae a été écrite pour lui.

Etre père est bien évidemment le thème central de cette deuxième saison, l’envie de maternité d’Helen l’illustre à la perfection. J’ai aussi bien aimé que la série développe la seconde chance que se donne le couple de Dana Sue et Ronnie. Cette chef cuistot est loin d’être un personnage que j’affectionne, la carapace qu’elle s’est forgée la rend assez antipathique. Mais ce revirement de situation est assez intéressant à suivre.

A l’ombre des magnolias est une adaptation littéraire d’une série de romans Arlequin où l’héroïne, Maddy, mère de famille admirable a une sacrée différence d’âge avec le coach Maddox, dixit Joëlle, mon homologue séries de filles. Pas sûr que j’aurais lu la série de romans tout de même.

Une fois A l’ombre des magnolias terminée, j’étais fort dépourvue. Heureusement, Netflix a fait jouer son redoutable algorithme avec Inventing Anna.

Au début, j’ai cru que c’était un documentaire (le générique me fait vaguement penser à la Joconde, va savoir pourquoi). J’avais lu l’histoire de cette fille, Anna Sorokin dans Elle dans quelques années. L’article décrivait bien le culot avec lequel elle avait arnaqué une bonne partie du gotha new-yorkais en devenant une amie bien fuyante quand il s’agissait de régler la note.

C’est une fiction librement adaptée d’une histoire vraie (c’est même mis en avant dans le générique à chaque épisode) en dix épisodes très bien structurés et tous aussi passionnants les uns que les autres. C’est une sacrée réussite tant les portraits psychologiques des personnages sont complexes et intéressants. Palme d’or à cette fameuse Anna qui fait froid dans le dos dans les trois premiers épisodes.

Elle se comporte vraiment mal avec Vivian, cette journaliste new-yorkaise qui s’intéresse à son histoire avec humanité mais aussi intérêt : avoir cet entretien exclusif lui permettrait de relancer sa carrière. C’est Vivian et Todd, l’avocat chargé de la défense d’Anna qui tiennent le beau rôle dans cette histoire.

Vivian est entourée d’une équipe de vieux routards de la presse qui vont lui donner un sacré coup de main. C’est cet hommage au journalisme d’investigation qui m’a plu dans cette série car les selfies d’une mondaine sur Instagram, ça va bien cinq minutes.

Copyright Nicole Rivelli/Netflix

C’est une série de grande qualité, très bien rythmée avec des retournements de situations passionnants. La roue tourne et les relations deviennent plus profondes quand Todd et Vivian prennent cette casse-pied de première sous leurs ailes. Car sous ses grands airs, c’est une gamine qui va se retrouver en prison une grande partie de sa vie, totalement abandonnée par ses parents restés en Allemagne.

J’ai été marquée par la scène où Todd fait la leçon à sa femme qui ne connait que le luxe et la vie facilitée par des parents présents dans son appartement de dingue à New-York : son dressing donne le vertige…

Cela a résonné avec l’une de mes lectures du mois : La villa aux étoffes, contribution de ma collègue Marine à notre future boite à livres au bureau qui verra bientôt le jour.

Malgré ses similitudes évidentes avec la série anglaise Downton Abbey, j’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman car il était bien écrit. Il réussit à montrer les rapports sociaux entre une jeune aristocrate et sa femme de chambre.

Elles ont parfois le même âge, imaginent comment elles pourraient devenir amies sans réaliser l’abyme sociétal qui les sépare.

Ce roman parvient à décrire ce thème incontournable de rapports sociaux entre maîtres et domestiques par des mots bien choisis, là où la série a moins de facilités sur grand écran. J’aimé que ce livre soit un gros pavé avec des rebondissements. Le fait que l’histoire se passe dans une usine de tissus en Allemagne juste avant la première guerre mondiale était un bon prétexte pour donner de la profondeur au récit.

La petite échappée dans le Montmartre des avants-gardes en 1914 à Paris m’a beaucoup plu même si c’était un peu tiré par les cheveux. Le personnage de Katharina, la plus jeune des filles de la famille est passionnant. On a envie de la secouer comme un prunier pour lui dire « Mais reviens sur terre, rends toi compte de la situation dans laquelle tu te mets au lieu de rêvasser à ce point ».

La sœur ainée, Elisabeth, est totalement aigrie car la nature ne l’a pas dotée du même physique et donc elle est dans le contrôle permanent pour ne pas perdre la face. Un roman un peu profond sur le plan psychologique et me voila ravie !

Je ne sais pas encore si je lirai la suite (c’est un peu des romans à l’eau de rose quand même malgré la dimension historique). Il y a trois autres tomes à lire en attendant la sortie du second volet de Downton Abbey.

Lire la suite de La villa aux étoffes sera toujours une meilleure détente que le roman La colline aux esclaves édité par Charleston. Ce roman qui raconte les pulsions meurtrières des maîtres sur leurs esclaves noirs quand ils avaient un pet de travers m’a donné des cauchemars. J’ai vite abandonné cette lecture même si la force des mots pour traduire l’horreur m’a épatée.

D’autres romans et séries que je vous conseille dans le blog pour attendre l’arrivée du printemps :

– Mes dix meilleures pépites trouvées sur Netflix

– Un roman aussi dépaysant qu’un trajet en Eurostar pour se retrouver dans le Sussex sur les traces d’un major anglais

Tout un été avec les personnages de Mitch Albom